Stagiaire en 2015, Thierno Abdourahmane Gadjico a gravi tous les échelons au sein de FirstBank Guinée, jusqu’à devenir chef d’agence à Matoto, poste qu’il occupe depuis près de quatre ans. Du département Crédit aux Opérations, en passant par le Business, le lauréat du prestigieux CEO Award 2025 s’est illustré par des résultats remarquables.
La cérémonie de remise des prix s’est tenue ce samedi 14 juin 2025, dans un réceptif hôtelier de Conakry. En recevant son trophée, Meilleur Prix CEO FirstBank Guinée, qui signifie Prix du meilleur travailleur de l’année et constitue la plus grande reconnaissance de l’année parmi tous les prix décernés, visiblement ému, Abdourahmane Gadjico a eu une pensée forte pour une figure marquante de sa vie : « Ce prix, je le dédie à la mémoire de mon cher Karamoko, décédé en mai dernier. Que son âme repose en paix. ».
FirstBank, première banque du Nigeria fondée en 1894, est solidement implantée en Guinée, avec plusieurs agences à Conakry et quelques-unes à l’intérieur du pays. Le prix remis à Abdourahmane Gadjico vient récompenser non seulement ses performances individuelles, mais aussi le fruit d’un travail d’équipe, comme il l’a souligné : « Recevoir ce prix est un immense honneur, mais aussi une lourde responsabilité. Je tiens à exprimer ma profonde gratitude à tous ceux qui m’ont accompagné sur ce chemin. Merci à mes parents, à mon épouse, à mes enfants pour leur amour et leur soutien indéfectible. Merci à mes collègues et à mes supérieurs pour leur confiance et leur collaboration. Merci à tout le staff de FirstBank Guinée pour cette belle reconnaissance. »
Il a également tenu à saluer les clients de l’institution : « Un merci tout particulier à nos chers clients : grâce à vous, ce défi a été bien plus facile à relever. Votre fidélité et votre confiance sont ma plus grande force. Je garde le cap pour 2026, pour continuer à vous surprendre positivement. »
Avec humilité et détermination, Thierno Abdourahmane Gadjico incarne une nouvelle génération de leaders bancaires guinéens qui ne cessent de faire la différence.
Amadou Diallo